Thierry Raspail vient de s’en aller du Musée d’art contemporain de Lyon (MAC) qu’il dirigeait depuis 1984, mais s’en prend à la municipalité et indirectement le maire de Lyon Georges Képénékian dans un entretien au quotidien Le Monde, contestant l’idée d’un « pôle musées » entre le Mac et le musée des Beaux-Arts lyonnais que vous nous avions révélé en exclusivité il y a quelques mois sur Salade Lyonnaise : « Je n’imagine pas ça, nous n’avons que 12 % de public en commun. »
Tout en faisant quand même son mea culpa : « C’est sans doute ma faute, je ne suis pas parvenu à faire valoir l’extrême importance des biennales d’art dans ce monde globalisé. »
Ceci explique sans doute cela…